SUST-FOREST : un projet sur le développement durable de la forêt passe à la 2de phase de l’Appel à Projets Européen SUDOE

Presque cinq mois après la clôture du second appel à projets le comité de programmation s’est réuni à Santander (Espagne) le 20 septembre dernier.
Ce comité a analysé l’ensemble des 223 candidatures reçues et s’est prononcé sur chacune d’elles, d’abord, au regard de leur éligibilité et, ensuite, pour les candidatures éligibles, si elles sont autorisées à poursuivre le processus de sélection.
Une fois la première phase finie, au cours de laquelle les candidatures ont été examinées sur la base des critères de sélection, uniquement 28 candidatures ont été autorisées à passer à la seconde phase. Parmi celles-ci, 2 projets comptent RESCOLL comme partenaire.
Le projet CarbonInspired (axe 1) qui a pour objectif la mise en place d’un réseau de coopération et transfert pour l’application des matériaux de haute valeur ajoutée basés en particules de carbone dans les secteurs de l’automobile et la construction.
Sust-Forest (axe 2) est un projet qui vise la multifonctionnalité, la conservation et l'emploi rural dans le territoire du sud de l’Europe par l’ extraction de la résine de pin.
Dans ces 2 projets, RESCOLL s’est adossé les compétences de l’Institut Polytechnique de Bordeaux (IPB).

Pour voir la liste des projets SUDOE : 26D2971E-5F58-2832-F49A-913380254E1E

Matériaux respectueux de l’environnement : le CEA salue l’article de RESCOLL sur les Sol-gel dans la revue Industries et Technologies

couv181_for_columnLe dernier numéro de la revue « Les Défis du CEA » fait l’éloge de l’article rédigé par Florent DELIANE sur « La Fonctionnalisation des Surfaces » pour la revue Industries et Technologies du mois de Juin. Dans l’article de la revue du CEA, il est mis en avant l’intérêt de la publication de RESCOLL notamment en mettant en avant « les nouvelles stratégies de synthèse dans le respect de l’environnement afin d’obtenir des nouveaux matériaux aux propriétés de surface encore jamais atteintes ».

Comme exemple, la revue fait le focus sur les vernis antireflets et réfléchissants développés pour les optiques du Laser Mégajoule.

Pour télécharger le scan de l’article de RESCOLL : Sol gel

Stockage d’énergie : une étude fondamentale sur les supercondensateurs

tramway-supercondensateur[1]Les supercondensateurs comme source de stockage/restitution de l’énergie est une alternative à certaines technologies existantes telles que les batteries ou le stockage magnétique (SMES),…..

Les supercondensateurs peuvent-être utilisés comme source d’énergie ou plus communément comme source spécifique de puissance associée à :

  • Une source d’énergie stationnaire
  • Une source d’énergie embarquée
  • Une source d’énergie portable

Par exemple, dans le domaine des transports civils ou militaires, les supercondensateurs peuvent être mis à profit dans le cas des véhicules tout électrique ou hybride avec une source de l’énergie lors des décélérations/accélérations ou pour satisfaire des applications de démarrage (concept stop-Start). Leur utilisation pour récupérer l’énergie de freinage présente également beaucoup d’intérêt dans les transports collectifs (train, tramway, bus,…).

L’évolution des dispositifs vers les architectures « plus électrique » est intéressante pour gagner en poids et en maintenance des systèmes. L’association de composants à forte densité de puissance comme le sont les supercondensateurs, avec d’autres sources électriques permettra de réduire considérablement le poids des alimentations électriques et se présente comme une solution innovante et particulièrement intéressante pour les futures systèmes électriques. C’est dans cet esprit que s’inscrit le sujet de thèse en collaboration avec l’université François Rabelais de Tours, dont l’objet est : de développer et de caractériser les nouveaux matériaux d’électrode base nano-composite graphène-polymères conducteurs organiques, pour un système de supercondensateur léger avec une très bonne efficacité au stockage et une bonne durabilité.

Cette thèse est encadrée par :

  • Dr. Thomas OLINGA : chef de service Matériaux conducteurs et Applications au sein de RESCOLL
  • Professeur François TRAN-VAN de l’Université François Rabelais de Tours

 

« Eco-innovators’ day » organisé par Commission Européenne

La  « Executive Agency for Competitiveness and Innovation » de la Commission Européenne a invité l’ensemble des coordinateurs de projets du programme CIP-ECO-INNOVATION à une activité de networking et de réflexion sur les eco-technologies à Bruxelles le 8 et 9 novembre 2012.

Lors de ces journées, les entreprises les plus innovantes d’Europe étaient présentes, notamment dans les domaines:

  • Recycling
  • Sustainable construction
  • Food & drink
  • Water
  • Green business: services, products & clean production

Ce programme se caractérise par une forte participation de PME (66%), un haut niveau de TRL, des investissements industriels importants et la création d’emplois à la clef.

RESCOLL, en tant que PME innovante dans le domaine des eco-technologies a naturellement été présente avec ces plus de 10 ans d’expérience dans le domaine des eco-technologies, 6 brevets liées à des technologies propres, plus de 20 Analyses de Cycle de Vie réalisés et une dizaine en cours de réalisation… la participation à ces journées ont servi non seulement à nouer des contacts privilégiés avec des partenaires européens mais également à constater la pertinence de l’expertise et des prestations de RESCOLL.

 Pour plus d’informations contacter : claire.michaud@rescoll.fr

ASTM D6866 measures renewable carbon but does not measure biodegradability

ASTM D6866 distinguishes carbon resulting from contemporary biomass-based inputs from those derived from fossil-based inputs. Biomass contains a well-characterized amount of carbon 14 that is easily differentiated from other materials such as fossil fuels that do not contain any carbon 14. Since the amount of carbon 14 in biomass is known, a percentage of carbon from renewable sources can be calculated easily from the TOTAL organic carbon in the sample. ASTM D6866 quantifies the biobased content relative to the material’s total organic content and does not consider the inorganic carbon and other non-carbon containing substances present.

To illustrate, here are some hypothetical formulations and their ASTM D6866 results:

Product 1 – liquid with 50% starch-based material and 50% water Biobased Content = 100% (product 1 has 50% organic content and 100% of that fraction is biobased)

Product 2 – liquid with 50% starch-based material, 25% petroleum-based, 25% water Biobased Content = 66.7% (product 2 has 75% organic content but only 50% of that fraction is biobased)

Product 3 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from petroleum Biobased Content = 0% (product 3 has 50% organic carbon but from fossil sources; glass is not carbon-containing)

Product 4 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from biomass Biobased Content = 100% (product 4 has 50% organic carbon and 100% of it is renewable)

Product 5 – liquid with 50% soy-based material, 30% petroleum-based, 10% water, and 10% inorganic substances Biobased Content = 62.5% (product 5 has 80% organic carbon but only 50% of it is renewable)

ASTM D6866 Does Not Measure Biodegradability

It must be noted that ASTM D6866 only quantifies the biobased content of a material but results do not have any implication on the material’s biodegradability. The terms biobased and biodegradability may be related, but they are not synonymous nor are they interchangeable. If a material is biobased, it comes from plants or animals, but it does not necessarily follow that it is biodegradable. A material is biodegradable only if microbes in the environment can break it down and use it as a food source. Some forms of cellulose are, in fact, non-biodegradable while some that are derived from petroleum do biodegrade contrary to popular opinion. Nowadays there are synthetic plastic resins that will biodegrade and compost just like paper. There are also bioplastic materials, such as Braskem’s bio-polyethylene, that do not biodegrade

Where European business embraces the environment

In our consumer-driven world, the potentially harmful impact of products and services on the environment has too often been ignored. But that is changing, thanks to a new generation of consumers and businesses determined to marry society’s everyday needs with a cleaner and greener environment.
One solution is to introduce innovative products, services and processes that protect the environment – a process known as eco-innovation. The goal is to reduce environmental impacts and make better use of resources.

The Eco-innovation initiative is not about research: all ideas must be developed, practical and offer long-term viability to qualify for funding. Nor are projects simply about protecting the environment. What the initiative does is lend a helping hand to innovative and environmentally friendly products, services and processes – moving them along the road to fully fledged commercial prospects, ready for uptake by business and industry.
Exploitation and market replication are key concepts. The EU wants to maximize this initiative’s impact and to get the best possible return on investment for each euro invested in it. The best Eco-innovation projects are those that can be replicated and multiplied across the EU.
EU eco-innovation goals
> Market uptake and leverage
> SME focus
> Substantial environmental benefits
> European added value
Some €200 million are available for Eco-innovation projects from 2008-13, attracting participants from companies and other organizations. Priority is given to SMEs. Currently they make up 70% of project participants.
For all Eco-innovation participants, the goal is clear: boosting Europe’s economic growth whilst protecting the environment.
To have the list of projects : Boosting-Green-Business-Europe

Installation de la première éolienne flottante

Bien connue dans les services maritimes comme l’offshore pétrolier, la compagnie française Bourbon a annoncé hier avoir installé dans l’Atlantique un dispositif innovant en éolien offshore semi-submersible.
Bourbon a ainsi mis en place dans des conditions optimales au large des côtes portugaises (Aguçadoura) une éolienne semi-submersible (2 MW) à fondation WindFloat, un projet mené par la compagnie d’électricité portugaise EDP et conçu par Principle Power, une société américaine.
Cette technologie permet d’assembler l’éolienne à terre avec des turbines standards, puis de la remorquer pour l’ancrer à des profondeurs suffisantes pour qu’elle ne soit pas visible de la côte.
Au cours des prochaines semaines les procédures de validation, de tests ainsi que la procédure de démarrage seront terminées. Elles incluent notamment des opérations de montée en puissance de la production d’énergie vers sa pleine capacité.
« C’est un moment historique qui vous coupera le souffle », a déclaré Alla Weinstein, PDG de Power Principe. « D’une certaine façon nous faisons un saut semblable vers de nouvelles ressources énergétiques comme le secteur pétrolier et gazier l’avait réalisé dans les années 1970, quand il a commencé à utiliser des structures flottantes. »
Source : www.enerzine.com

Air France teste un vol low cost en carbone

Comme bon nombre de ses concurrents, la compagnie aérienne française a réalisé, ce jeudi 13 octobre, un vol commercial «vert», destiné à réduire de moitié les émissions de CO2.

Concrètement, trois leviers ont été actionnés pour atteindre l’objectif visé: le poids de l’avion, l’utilisation de 50% de biocarburants issus d’huiles usagées mélangés à 50% de kérosène traditionnel et l’optimisation des trajectoires de l’appareil, a détaillé Bertrand Lebel, directeur général adjoint au développement durable chez Air France.
«Ce vol est fait avec des éléments qui vont permettre de réduire l'empreinte carbone de plus de 50%» par rapport à un vol classique, a-t-il souligné lors d’une conférence de presse, organisée peu avant le décollage.
S’agissant du poids de l’avion, un moyen-courrier A321, Air France a réduit le poids des sièges (de près de 5 kilogrammes), des meubles à bord, de la moquette et même des gobelets en plastique.
L’avion devait aussi suivre une trajectoire sur-mesure: «Pour consommer moins de carburant, il faut monter le plus régulièrement possible, sans palier intermédiaire» et descendre de la même façon, a détaillé Maurice Georges de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC).
En allure de croisière, l’A321 va se fixer à environ 11.000 mètres, l’altitude normale d’un long-courrier et emprunter la route la plus courte possible.
Les contrôleurs du ciel vont «intégrer» ce vol précurseur dans les 500 autres vols simultanés qui tournent en permanence dans le ciel français. A grande échelle, ce serait un casse-tête de dessiner de telles trajectoires pour les 10.000 vols quotidiens en France, selon les experts. «C’est un enjeu», a reconnu Maurice Georges.
Il serait également difficile de généraliser les biocarburants, car ils «ne sont pas à une étape de maturité industrielle», a expliqué Bertrand Lebel qui a admis qu’il s’agissait avant tout d’un vol destiné à faire de la pédagogie et à sensibiliser.
La généralisation de ces pratiques n’est pas encore à l’ordre du jour. La DGAC n’est pas encore outillée pour guider de trop nombreux vols à haute altitude. De plus, comme le rappelait un récent colloque organisé par l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (Onera), la production industrielle d’agro-kérosène reste encore un rêve d’ingénieur.

Source : Le Journal de l’Environnement.

L’écodiversité par Rescoll et ses abeilles.

Juste avant le départ en vacances fin juillet, les abeilles qui habitent sur le toit du nouveau bâtiment de RESCOLL ont livré leur première récolte de miel : la ReScollte.

En effet, depuis que nous avons investi notre nouveau bâtiment et avec l’objectif de participer (modestement) à l’écodiversité de notre environnement de travail, plusieurs salariés de RESCOLL (Wilfrid, Cyril et Loïc) se sont investis, hors de leur temps de travail, dans l’agréable tâche de soigner les 3 ruches que nous avons disposé sur le toit de notre immeuble.

Les abeilles ont l’air de s’être relativement bien acclimatées à leur nouveau domicile car elles ont livré plusieurs kilos d’un excellent miel que, une fois conditionnés, les responsables de l’activité ont mis à disposition des salariés et partenaires de RESCOLL.

Après dégustation, tout le monde s’est accordé sur les qualités organoleptiques exceptionnelles de cette première cuvée. On vous donnera des nouvelles de la prochaine ReScollte à venir.

Rescoll apporte sa contribution à l’expédition MED

L’Expédition MED repart sur les flots pour poursuivre ses recherches en Méditerranée Occidentale, principalement sur la pollution par les micro-fragments de plastique et son impact sur la biodiversité marine.
Au programme, toujours des prélèvements de microfragments de plastiques, des prélèvements nocturnes de Myctophidés, des largages de bouées équipées de balises argos pour l’étude du déplacement des déchets et des méduses, l’étude des essaims de méduses Pélagia et la mise au point d’un prototype de caméra nocturne « La Med Cam ».
La mise au point d’une technique non intrusive et respectueuse des cétacés qui doit permettre de faire une avancée significative pour le suivi des populations.
Le laboratoire Rescoll, pour l’étude sur l’origine de fabrication industrielle des différents plastiques, a été remercié pour avoir apporté sa contribution à l’expédition MED.
Des scientifiques de chaque pays visités vont également participer aux différents protocoles de la campagne
La première campagne de l’Expédition MED, a estimé que 250 milliards de micro-fragments de plastiques flottants contaminent la Méditerranée et a également démontré que ces particules de plastique sont ingérées par des petits poissons situés à la base de notre chaîne alimentaire. Au vu de la capacité de ces particules à perdurer dans l’environnement et à accumuler les contaminants, les risques sanitaires sont importants !
L’Expédition MED va donc poursuivre ses investigations et également sensibiliser les populations et les politiques pour stopper cette pollution à la source.

Plus d’informations sur le site de l’expédition.