New Li-Ion batteries for electric vehicle

GREENLION is a Large Scale Collaborative Project within the FP7 leading to the manufacturing of greener and cheaper Li-Ion batteries for electric vehicle applications via the use of water soluble, fluorine-free, high thermally stable binders, which would eliminate the use of VOCs and reduce the cell assembly cost.

Objectives

  • NEW MATERIALS

Development of new active and inactive battery materials viable for water processing

  • INNOVATIVE ELECTRODE PROCESS

Innovative process leading to reduced electrode production cost and avoid environmental pollution

  • NEW ASSEMBLY PROCEDURE

Development of new assembly procedures capable of substantially reduce the time and the cost of cell fabrication

  • ECO-DESIGN BONDING TECHNIQUES

Lighter battery module with air cooling and easier disassembly through eco-designed bonding techniques

  • AUTOMATED MODULE ASSEMBLY

Development of an automated module and battery pack assembly line for increased production output and reduced cost

  • WASTE REDUCTION

Waste reduction, which by making use of the water solubility of the binder, allows for the extensive recovery of the active and inactive battery materials

To read the first Newsletter of this project: greenlion-newsletter-1

To download the GREENLION leaflet: greenlion-leaflet-2012_original

ASTM D6866 measures renewable carbon but does not measure biodegradability

ASTM D6866 distinguishes carbon resulting from contemporary biomass-based inputs from those derived from fossil-based inputs. Biomass contains a well-characterized amount of carbon 14 that is easily differentiated from other materials such as fossil fuels that do not contain any carbon 14. Since the amount of carbon 14 in biomass is known, a percentage of carbon from renewable sources can be calculated easily from the TOTAL organic carbon in the sample. ASTM D6866 quantifies the biobased content relative to the material’s total organic content and does not consider the inorganic carbon and other non-carbon containing substances present.

To illustrate, here are some hypothetical formulations and their ASTM D6866 results:

Product 1 – liquid with 50% starch-based material and 50% water Biobased Content = 100% (product 1 has 50% organic content and 100% of that fraction is biobased)

Product 2 – liquid with 50% starch-based material, 25% petroleum-based, 25% water Biobased Content = 66.7% (product 2 has 75% organic content but only 50% of that fraction is biobased)

Product 3 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from petroleum Biobased Content = 0% (product 3 has 50% organic carbon but from fossil sources; glass is not carbon-containing)

Product 4 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from biomass Biobased Content = 100% (product 4 has 50% organic carbon and 100% of it is renewable)

Product 5 – liquid with 50% soy-based material, 30% petroleum-based, 10% water, and 10% inorganic substances Biobased Content = 62.5% (product 5 has 80% organic carbon but only 50% of it is renewable)

ASTM D6866 Does Not Measure Biodegradability

It must be noted that ASTM D6866 only quantifies the biobased content of a material but results do not have any implication on the material’s biodegradability. The terms biobased and biodegradability may be related, but they are not synonymous nor are they interchangeable. If a material is biobased, it comes from plants or animals, but it does not necessarily follow that it is biodegradable. A material is biodegradable only if microbes in the environment can break it down and use it as a food source. Some forms of cellulose are, in fact, non-biodegradable while some that are derived from petroleum do biodegrade contrary to popular opinion. Nowadays there are synthetic plastic resins that will biodegrade and compost just like paper. There are also bioplastic materials, such as Braskem’s bio-polyethylene, that do not biodegrade

ETV comme «Environmental Technology Verification»

Les facteurs écologiques devenant déterminants pour la compétitivité et la performance des entreprises, l’Europe et la France entendent promouvoir l’éco-innovation. L’innovation, et donc l’éco-innovation, implique l’introduction de solutions significativement nouvelles. La difficulté de l’appréciation ex ante de leur performance est due à l’absence de retour d’expériences. Les systèmes de vérification des performances d’éco-technologies innovantes dit ETV pour «Environmental Technology Verification» entendent y répondre.

A l’issue des réflexions menées à l’échelle européenne sur la mise en place d’un tel système de vérification, la Commission Européenne a souhaité lancer un «Pré-Programme ETV» européen basé sur trois familles d’éco-technologies (Eau, Déchets et Energie) parmi sept, les autres familles non sélectionnées à ce stade pouvant être intégrées par la suite. Ce système de vérification opération dans une relation B to B.

La France s’est positionnée pour participer à ce Pré-Programme, tout comme la Belgique, le Danemark, la Pologne, le Royaume-Uni, la Finlande et la République Tchèque. Il est devenu opérationnel début 2011 et doit permettre de tester le dispositif à grande échelle.

Dans le cadre des réflexions menées par le COSEI, la France a lancé en 2008 le plan ECOTECH 2012 visant à organiser et à soutenir les éco-industries, notamment par la R&D. Le COSEI a également identifié le déploiement d’un système de vérification des performances des écotechnologies innovantes comme un levier possible pour l’éco-innovation et la compétitivité des éco-entreprises françaises.

Dans ce cadre, le CGDD et la DGCIS ont confié à l’ADEME le soin de mettre en œuvre le dispositif expérimental européen en France et de préciser le cadre et les conditions opérationnelles du futur dispositif national.

Veuillez trouver ci-joint l’étude réalisée : ADEME__Synthese_Etude_ETV_2011

« Décarboner » l’économie, voilà la priorité !

Par Jean-Marc Jancovici, Brice Lalonde et Bo Kjellen (Article Lemonde.fr du 19/06/2012)

En pleine crise européenne, alors que tant de nos concitoyens sont à la peine, l’environnement ne semble pas la première des préoccupations. Comment se convaincre que, pourtant, le changement climatique reste une priorité ? Comment, quand au surplus ses victimes semblent invisibles, à la différence de celles du tabac ou des accidents de la route ? C’est simple : il faut porter le regard vers le réservoir plutôt que vers la cheminée. De fait, les émissions de CO2 ne relèvent pas de la génération spontanée : elles proviennent de la combustion du pétrole, du charbon ou du gaz naturel. Or, en ce qui concerne le pétrole, les problèmes ne sont pas pour plus tard. Ils ont démarré il y a trente-cinq ans !

Dans les années 1960 et 1970, la production mondiale d’or noir croissait de 5,5 % par an. De 1980 à 2005, ce taux est descendu à 0,8 % par an. Depuis 2005, il est nul. Tous les ennuis que nous avons connus depuis – récessions, endettement croissant, financiarisation de l’économie, chômage structurel – ont commencé avec les premiers chocs pétroliers, et se sont aggravés à chacun des suivants. Le plafonnement de la production pétrolière depuis 2005 est bien à l’origine de la crise, plus violente encore car elle vient percuter l’accumulation de dette issue des chocs énergétiques précédents. Continuer la lecture de « « Décarboner » l’économie, voilà la priorité ! »