GOING PUBLIC Magazin : Special « Industrial Biotechnology »

BBI RescollSurfing on the European Bioeconomy wave :Launching a new Public-Private Partnership for Bio-Based Industries

2014 will have to be remembered as a landmark year for science and innovation in Europe. The European Union (EU), in partnership with industry, will invest more than EUR 20 billion into sustainable growth and jobs through research and innovation, as initially proposed in July last.

Innovative approaches and bold ideas, guided by a clear vision involving both public and private sectors are essential if we are to effectively address the challenges thatwe are facing collectively as a society.

On the 9th of July of this year, the EU and industry is set to jointly launch the first call for proposals of this new wave of public-private partnerships (PPPs), forming an Innovation Investment Package aimed at tackling Europe’s major challenges. The Bio-based Industries Joint Undertaking, also referred to as the Bio-based Industries Initiative, is “the new kid on the block” since the other 4 have already been in existence for 7 years now and have been renewed for the period 2014-2020.

To download the GOING PUBLIC Magazin : GoingPublic-Surfing on the European Bioeconomy wave_MAY2014

Nawhicel : un projet qui associe les concepts de « nano » et « biosourcé »

Nawhicel RescollNAWHICEL-2 est un projet collaboratif de R&D retenu dans le cadre du FUI16, co-labellisé par les Pôles de Compétitivité Xylofutur et Elastopole et vise le développement d’une filière industrielle compétitive et durable de composites et colles à base de nanocellulose

Ce projet a pour objectif de développer une nouvelle génération de colles et de composites élastomères à base de nanocellulose pour le marché du transport (automobile, aéronautique) et des énergies renouvelables (photovoltaïque, éolien…).

L’ajout de ce nanomatériau biosourcé (en substitution de charges d’origine fossile) dans des produits techniques doit générer à iso-coût des améliorations de performances (agent de rhéologie, renfort mécanique, stabilité dimensionnelle, étanchéité, effet barrière…) et des bénéfices environnementaux qui seront validés par des analyses de cycle de vie comparatives.

Pour cela, le projet NAWHICEL-2 s’est structuré autour d’un consortium industriel comprenant 8 partenaires aquitains (EMAC, JTT COMPOSITE, AEC POLYMERS, CANOE, RESCOLL, APESA, LCPO et IPREM) et un équipementier automobile majeur COOPER STANDARD.

NAWHICEL-2 permettra aux partenaires du consortium de monter en compétences, d’acquérir du savoir-faire et d’accroître leur présence sur leurs marchés respectifs grâce à une nouvelle gamme de produits techniques à base de matériaux biosourcés (nanocellulose) qui leur donnera un avantage concurrentiel et différentiateur. Une quinzaine de créations d’emplois au niveau local sont à la clé, à la fois en termes de R&D, de production ou de commercialisation.

Pour télécharger le communique de presse : CP Nawhicel

Exposé sur les matériaux biosourcés lors du salon européen Plant Based Summit

Resines biosourceesDu 19 au 21 novembre 2013 a eu lieu à Paris le Congrès-exposition européen des produits biosourcés Plant Based Summit.

Cet événement a permis d’offrir aux acteurs industriels l’occasion de s’informer, de communiquer et d’échanger sur les perspectives d’avenir d’un marché prometteur, où les produits biosourcés auront une place de plus en plus prépondérante.

Axé sur la promotion de l’innovation et les rencontres d’affaires, Plant Based Summit contribue au développement de la chimie européenne du végétal et ses applications à travers :

  • Une exposition regroupant 50 des meilleurs experts :
    • Producteurs de produits biosourcés
    • Coopératives agricoles et vendeurs de matières premières
    • Agro-industriels
    • Fournisseurs/ Distributeurs de produits biosourcés
    • Equipementiers pour l’industrie chimique
    • Chimistes
    • Sociétés d’ingénierie, de conseil et d’investissement
    • Institutions publiques et politiques
    • Un congrès présentant 40 conférences ciblées avec plus de 100 intervenants :
      • Sur les enjeux clés de l’innovation technique et scientifique, le développement, l’industrialisation,

Blanca PALOMO, ingénieur R&D chez RESCOLL à participé au congrès pour présenter les derniers avancements de Rescoll dans le développement d’adhésifs biosourcés pour des applications structurales.

Pour télécharger la présentation, cliquez ici : Biobased epoxy structural adhesives

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Blanca PALOMO ou Maxime OLIVE.

Self-cleaning surfaces: learning from cicadas

Self-cleaning surfacesA team of scientists from Duke University, USA, and James Cook University, Australia, say they have discovered how cicadas, the red-eyed insects, keep their wings clean and free from contaminants. The secret? Self-propelling dew drops.

« Traditionally, cleaning of natural surfaces was thought to take place primarily by the so-called ‘lotus effect,’” co-author Dr. Jolanta Watson, of James Cook University, said. In that effect, first observed on the lotus leaf, « rain water droplets roll along the leaf and carry away dirt from the surface, much like water droplets on [the] hood of a freshly waxed car,” she said.

Findings differ from conventional wisdom

However, the team says Mother Nature uses other ways to clean surfaces, especially in areas where rain does not fall for extended periods of time. The findings are « fundamentally different from the conventional wisdom involving rolling or colliding droplets on superhydrophobic surfaces,” according to the scientists.

When cicada’s wings are exposed to water vapor, dew forms small droplets that merge together spontaneously and are self-propelled off the surface by changes in the surface energy, according to the scientists. The jumping is automatic, and droplets can rid the superhydrophobic surface of dirt and other contaminants.

Humid areas with little rain

« Most cicadas are unable to clean their own wings because of their short appendages,” said co-author Dr. Gregory Watson of James Cook University. « Furthermore, these insects commonly live in areas where there is little rain over an extended period of time. « However, the areas are humid, which provides the tiny dew droplets needed to ‘jump clean’ their wings.”

 The new discovery may lead to a wide range of applications, according to co-author Dr. Greg Watson. « The findings gives us a blueprint to copy and make the next new generation of man-made self-cleaning surfaces that can clean themselves of dirt, bacteria and other environmental contaminants,” he said. « These types of surfaces may find applications as self-cleaning windows, hospital surfaces, environmentally green surfaces, construction materials, pipes, kitchen surfaces, roof tiles, machine components and water-resistant surfaces.”

Projet SUST-FOREST : La relance du gemmage des pins du sud-ouest européen n’a jamais été aussi proche

SUST FORESTDu 16 au 18 avril a eu lieu à Coca (Ségovie-Espagne) de II Symposium International sur les Résines Naturelles et plus précisément, celles provenant du gemmage des pins du sud-ouest (SUDOE) européen. En effet, la forêt landaise en France, tout comme les forêts du centre-ouest espagnol et du nord du Portugal  recèlent un  trésor qui n’est actuellement pas exploité : la résine de ses pins.

Le pin maritime, occupant des centaines de milliers d’hectares sur ce territoire,  sécrète un liquide qui a des applications industrielles très intéressantes. Or, du fait de l’importation de produits équivalents de Chine et Brésil, l’exploitation dans l’espace SUDOE a pratiquement disparue depuis des décennies.

Cependant, certains points du contexte socio-économique mondial (consommation interne des pays producteurs, coût de la main d’œuvre locale, situation économique difficile en Europe, carence de produits pour l’industrie,….) pourraient aller dans le sens d’une relance de l’exploitation de ce produit dans l’espace SUDOE.

C’est dans ce cadre que, après une première rencontre sur Bordeaux en Octobre 2012, plus de 250 spécialistes mondiaux se sont réunis à Coca pour réfléchir sur les conditions permettant la relance du gemmage dans l’espace SUDOE.

Pour plus d’infos génériques sur ce symposium : http://www.sust-forest.eu/

Pour télécharger les interventions des représentants français :

Didier Canteloup, de l’ONF : D. Canteloup Le pin maritime en France.   VIDEO de son intervention

Marilys Blanchy, de RESCOLL : M. Blanchy – Caracteristiques differentielles de la resine

José ALCORTA, de RESCOLL : J. Alcorta La industria en Europa

Pour avoir des infos sur la relance du gemmage en Aquitaine et dans l’espace SUDOE : marilys.blanchy@rescoll.fr

La relance du gemmage fait l’objet d’un symposium international

SUST FORESTDans le cadre du projet SUST-FOREST, un symposium international sur la relance du gemmage dans le Sud-Ouest européen est organisé à Coca, Ségovie-Espagne les prochains 16, 17 et 18 Avril 2013.

Après la réussite du symposium organisé sur Bordeaux fin 2012, avec l’assistance de plus de 150 spécialistes mondiaux dans le domaine de la résine de pin, les organisateurs, dont RESCOLL avaient annoncé la tenue de ce symposium en Espagne à l’occasion de la clôture du projet européen SUS-FOREST.

Ce sera l’occasion de faire le point, après une étude de 3 ans avec des opérations de gemmage grandeur nature dans les forêts d’Espagne et Portugal, sur la faisabilité technique et économique et l’intérêt de la relance de cette activité potentiellement créatrice d’emplois et de richesse.

Marilys Blanchy, de RESCOLL, fera une synthèse de l’étude technico-économique réalisée par RESCOLL dans le cadre de ce projet.

Vous pouvez télécharger le programme en français du symposium : II Symposium International sur les Resines Naturelles

Colloque sur la relance du gemmage à Coca (Ségovie-Espagne)

SUST FORESTNous avons  le plaisir de vous annoncer la prochaine conférence à entrée libre sur « La relance du gemmage en Europe : contexte et opportunités »

Après le succès rencontré avec la précédente conférence organisée le 30 octobre dans les locaux de l’ENITA, un nouvel évènement dans le cadre du projet SUST-FOREST va être organisé cette fois en Espagne

Un colloque réunissant industriels, services publics gemmeurs  aura lieu du 16 au 18 Avril 2013 dans la ville de Coca en Espagne.

De nombreux acteurs de la résine seront présents comme les gemmeurs toujours en activité en Espagne, des institutionnels comme l’HARPA l’association des producteurs de produits chimiques de la résine de pin, colophane, et résine hydrocarbones ou encore des industriels comme LURESA et bien d’autres encore.

Le programme sera bientôt disponible. Nous vous recontacterons avec confirmation du programme et adresse précise de la conférence.

Pour plus d’informations : marilys.blanchy@rescoll.fr

Le projet SUST-FOREST rassemble plus d’une centaine de personnes autour de la relance du gemmage en Aquitaine et le sud ouest européen

Dans le cadre du projet européen SUST-FOREST, RESCOLL et  l‘ADERA ont organisé le 30 Octobre 2012 un colloque international sur la faisabilité technique et économique de la relance de l’activité de gemmage en Aquitaine et le sud ouest européen.

Suivant l’exemple des voisins espagnols et portugais où le gemmage a été relancé depuis quelques années, l’Aquitaine se pose la question de l’opportunité de la relance de cette activité qui a fait vivre jusqu’à fin des années 70 des centaines de familles dans les Landes.

Des experts, spécialistes et expérimentateurs du gemmage des trois pays, plus une dizaine de participants internationaux (Brésil, USA, Suisse, UK, Belgique, Pays Bas,…), ont mis en commun leurs expériences et savoir-faire dans le domaine afin d’en dégager un argumentaire commun.

Les assistants ont insisté sur l’indispensable intérêt de la création d’un Conseil Sectoriel de la Résine qui aurait pour rôle la défense des intérêts de l’ensemble des parties prenantes (propriétés forestiers, gemmeurs, industriels, utilisateurs, institutionnels,…) vis-à-vis des instances européennes en charge du secteur.

Pour plus d’infos, vous pouvez télécharger l’article d’AQUI ! : Aqui ! Gemmage 31 10 2012

Pour télécharger les présentations de la journée : 0 Participants    1 Intro Jose Alcorta      2 Jose Alcorta   3 Tamas Szedlak    4 Alejandro Cunnhingham   5 Philippe Sainte Cluque     6 Antonio Romero   7 Marilys Blanchy  8 Nicolas Langlet   9 Luc Leneveu     11 Felix Pinillos

ATELIER INTERNATIONAL DE DIAGNOSTIC DE L’AUTRE INDUSTRIE DES RESINEUX : Vers la relance du gemmage dans le sud-ouest européen ?

Organisé dans le cadre du projet européen SUST-FOREST (www.sust-forest.eu), l’objectif final de cet atelier international est d’évaluer l’intérêt de l’extraction de la résine en tant qu’activité forestière rentable contribuant à l'emploi rural et la conservation des forêts de pins du sud-ouest européen.

Pour ce faire, il est important d’évaluer la demande industrielle pour cette matière première au bilan environnemental imbattable car régionale, naturelle et renouvelable.

Dans un contexte économique difficile, cette industrie, déjà présente régionalement en Aquitaine mais aussi en Espagne et Portugal, demande à pouvoir bénéficier de l’approvisionnement stable d’une matière première, de préférence locale. Cependant, il est indispensable de bien connaître ses besoins et ses projets afin de concilier l’offre et la demande et pouvoir proposer des mesures qui puissent bénéficier à l’ensemble du secteur.

Une large présence des industries de première transformation de la gemme et de la deuxième transformation de la colophane et térébenthine situées dans l’espace géographique du sud-ouest européen, des représentants des associations les plus représentatives de la plupart des produits finaux utilisant ces matières premières, ainsi que des institutionnels régionaux, nationaux et européens, devra permettre d’avancer dans la connaissance commune de l’ensemble de la chaîne de valeur et ainsi définir les bases nous permettant de développer ce secteur industriel.

Pour plus d’infos : sust-forest@rescoll.fr

Pour télécharger le programme : Programme Gemmage 30 Octobre 2012

ASTM D6866 measures renewable carbon but does not measure biodegradability

ASTM D6866 distinguishes carbon resulting from contemporary biomass-based inputs from those derived from fossil-based inputs. Biomass contains a well-characterized amount of carbon 14 that is easily differentiated from other materials such as fossil fuels that do not contain any carbon 14. Since the amount of carbon 14 in biomass is known, a percentage of carbon from renewable sources can be calculated easily from the TOTAL organic carbon in the sample. ASTM D6866 quantifies the biobased content relative to the material’s total organic content and does not consider the inorganic carbon and other non-carbon containing substances present.

To illustrate, here are some hypothetical formulations and their ASTM D6866 results:

Product 1 – liquid with 50% starch-based material and 50% water Biobased Content = 100% (product 1 has 50% organic content and 100% of that fraction is biobased)

Product 2 – liquid with 50% starch-based material, 25% petroleum-based, 25% water Biobased Content = 66.7% (product 2 has 75% organic content but only 50% of that fraction is biobased)

Product 3 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from petroleum Biobased Content = 0% (product 3 has 50% organic carbon but from fossil sources; glass is not carbon-containing)

Product 4 – solid that is 50% glass and 50% polyethylene from biomass Biobased Content = 100% (product 4 has 50% organic carbon and 100% of it is renewable)

Product 5 – liquid with 50% soy-based material, 30% petroleum-based, 10% water, and 10% inorganic substances Biobased Content = 62.5% (product 5 has 80% organic carbon but only 50% of it is renewable)

ASTM D6866 Does Not Measure Biodegradability

It must be noted that ASTM D6866 only quantifies the biobased content of a material but results do not have any implication on the material’s biodegradability. The terms biobased and biodegradability may be related, but they are not synonymous nor are they interchangeable. If a material is biobased, it comes from plants or animals, but it does not necessarily follow that it is biodegradable. A material is biodegradable only if microbes in the environment can break it down and use it as a food source. Some forms of cellulose are, in fact, non-biodegradable while some that are derived from petroleum do biodegrade contrary to popular opinion. Nowadays there are synthetic plastic resins that will biodegrade and compost just like paper. There are also bioplastic materials, such as Braskem’s bio-polyethylene, that do not biodegrade